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C’est dans le Pacifique que le Corsair connaît son heure de gloire, notamment au sein de la VMF-214.
L’escadrille des brebis galeuses, le « Black Sheep Squadron », doit sa renommée à son commandant, Gregory Boyington, qui commande l’unité pendant cinq mois.
Cinq mois de lutte acharnée contre les chasseurs de la Marine impériale japonaise ancrée dans les îles Salomon.
Bien qu’il n’ait pas été l’avion des As contrairement au F-6F « Hellcat » conçu par Grumann, le Corsair reste sentimentalement pour beaucoup le plus célèbre chasseur américain ayant opéré dans le Pacifique. C’est empreint d’un plaisir immense que AceS me permet de partager avec vous, grâce à cette rubrique dédiée à une machine, la réalisation de la meilleure reproduction toute marque confondue du Corsair à échelle réduite. Vous êtes désormais habitués : dans AceS, nous ne vous montrons que le meilleur…
À la fin de la Première Guerre mondiale et l’éclatement de l’empire austro-hongrois, de nouveaux pays se dessinent
sur l’échiquier européen. Parmi eux, née de la réunion des provinces de Bohème, de Moravie et de Slovaquie,
il y a la Tchécoslovaquie. Au cours de l’entre-deux-guerres, cet état se modernise très rapidement et se dote d’une industrie aéronautique très performante. Malgré un essor fulgurant, un déséquilibre s’opère entre la riche Bohême- Moravie et la pauvre Slovaquie.
Dans les objets de la guerre que Jan Reznak avait pu garder, il y avait une carte allemande de la région du Kouban avec un curieux carroyage qui suscita ma curiosité et un nombre de questions. Selon le pilote aux 81 printemps le carroyage permettait pour les pilotes de se situer au-delà de toute connaissance de la région. C’est ce système dit « Gradnetz » que nous allons essayer d’expliquer. C’est en 1937 que le futur général d’aviation, Wolfgang Martini développe un système de lecture et de repérage où les points de navigation peuvent être lus sur une carte allemande…
Icône de l’Armée de l’Air, Georges Guynemer est, depuis sa disparition, l’un de ses pilotes les plus connus, sinon le plus connu. Et pourtant cet homme n’aurait jamais dû voler… Ses exploits ont cependant fait, lors de la Première Guerre mondiale,
la Une des journaux et, dès la fin du conflit, il a été l’objet d’un « culte » dont la biographie de Henry Bordeaux a donné le « la ». Derrière l’image se cachait l’homme, le pilote, l’As des As, courant, volant derrière son inaccessible étoile…
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